Les psychanalystes, quelle inventivité ?
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Avec la participation de Jean ALLOUCH, Marc-Antoine BOURDEU, Danièle BRUN, Dalila CANO Gisèle CHABOUDEZ, Frédéric DE RIVOYRE, Olivier DOUVILLE, Anne-Laure DUBRUILLE, Gérard GUILLERAULT, Celya HERBIN, Brigitte LALVEE, Didier LAURU, Marie-Pierre MANSUY, Catherine MILLOT, Jean-Jacques MOSCOVITZ, Marie PESENTI-IRRMANN, Gérard POMMIER, Jean-Jacques RASSIAL, Catherine SALADIN, Marie-Laure SUSINI
Depuis l’audace du geste de Freud inventant le dispositif par lequel la parole de l’hystérique allait le mener à la découverte de l’inconscient, nous savons que le sujet se constitue toujours à partir du discours de l’Autre. L’analyste devra inventer à chaque fois pour que s’opère l’élaboration de l’histoire infantile de l’analysant, le délivrant de sa compulsion à répéter les conditions de sa subjectivité par ses symptômes. C’est cette invention qui sera questionnée au fil des différents chapitres de cet ouvrage, qu’il s’agisse du travail du psychanalyste dans la cure, ou dans des services de médecine et de psychiatrie.